Nous étions présents cette année du côté des Déferlantes. Récap complet sur nos 3 jours passés (jeudi, vendredi et samedi) du côté du Barcarès.
Les Déferlantes ont fait leur retour du côté du Lydia au Barcarès près de Perpignan, 1 an après y avoir posé ses valises. Plus de 110 000 personnes étaient présent cette année les pieds dans le sable. Un festival familial de 7 ans à 77 ans.
La programmation
Comme à son habitude, le festival nous a proposé un beau programme. Le jeudi était la journée la plus électro des 4 jours, nous avons pu voir
Kungs qui a remplacé au dernier moment
Rema, Boys Noize, Busy P, le boss du label
ED Banger,
Charlotte De Witte qui nous dévoilait son nouveau show « Overdrive ». Mais surtout le duo français
Justice qui nous a sorti un très beau show. On en a également profité pour aller voir le groupe de rock
Sum 41.
Le vendredi était une journée assez calme niveau musique électronique où on a pu voir les jeunes talents
Nico Rodas en B2B avec
Esteban sur la
S*X Stage qui nous ont régalés avec un petit « Jealous » de
Mochakk et un « Barbra Streisand » des
Duck Sauce puis on a eu le droit à la tête d’affiche
Paul Kalkbrenner qui a pu nous jouer son classique « Sky and Sand » et son remix de
Stromae « Te Quiero ».
Quant au samedi, on a eu le droit de voir
Martin Solveig qui a joué classique sur classique et qui a conquis la foule, le Belge
Lost Frequencies qui nous balancé de la drum & bass et le groupe Britannique
The Prodigy.
L’organisation
Une méga structure, deux mainstages
Il y avait « 3 scènes » (
Sea Stage, Sun Stage et la
S*x Stage) lors de cette édition 2024. Les emplacements des scènes sont différents de ce qu’on connait par rapport à l’
Electrobeach.
La
Sea Stage et la
Sun Stage sont en réalité une grosse Mainstage scindée en deux par un immense écran led. Le but de faire deux mainstages collées est de permettre aux équipes techniques de pouvoir préparer tout le matériel technique demandé par les artistes et ainsi de rester fluide dans les transitions, même si on a quand même eu des moments de « blancs ».
La
S*x Stage était au nord du festival, sous un chapiteau. DJ Mag avait pris le contrôle de la scène le jeudi soir en invitant
Busy P, Boys Noize et
Massane.
Au niveau de la restauration, le festival a mis en place une immense « Street Food » sous un chapiteau qui aurait pu faire une immense scène techno par la même occasion. Au menu, on pouvait manger des burgers, de la cuisine Thai, des poutines, un stand Charal, des sandwichs et kebabs. Côté sucré, gaufres, crêpes étaient disponibles. Les prix étaient corrects et tournés aux alentours de 10 à 15€.
Niveau buvette, on avait droit à des stands de célèbres marques d’alcools forts de rhum, de vodka, de gin et de liqueur. On retrouvé également le stand de Ricard et de Jack Daniel’s. Le prix des consommations était également correct. La pinte de bière à 8€ et les cocktails à base d’alcool fort entre 9€ et 12€.
Pour rentrer dans le festival, il fallait faire un peu de queue. La sécurité imposée de faire passer les gens, groupes par groupes, afin de fluidifier l’entrée sur le site. Petit bémol concernant l’entrée VIP qui était très petite et qui du coup, formé une file d’attente assez longue. Cela dépendait également de l’horaire d’arrivé.
Sur ce, c’est encore une édition très réussie pour
Les Déferlantes pour leur deuxième année au
Barcarès. Mais, en tant qu’amateur de musique électro, un ou deux artistes électro en plus auraient été apprécié. Bien évidemment, l’EMF aurait dû se dérouler juste après. C’est peut-être pour cela que la programmation était moins électro.
À l’année prochaine !
Crédit Photo : L'indépendant, Lost Frequencies, Les déferlantes
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Article rédigé par Florian Svein
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